Paru le 15 mai dans Libération, un article signé Jean Quatremer a fait trembler le monde politico-médiatique bruxellois sur ses bases. Il est vrai que le papier ne fait pas dans la dentelle. Mais s'il frappe fort, il frappe aussi juste, et dresse un portrait sans concession de l'urbanisme de la capitale, qualifié de "n’importe quoi", notamment en ce qui concerne le trafic automobile. Mais il faut quand même préciser aussi que ce sombre tableau vaut pour le pentagone et ses tentacules de la rue de la Loi ou de l'avenue Louise. Pas pour le haut de St Gilles, Uccle ou - entre autres -Ixelles, qui restent pour moi des petits paradis urbains, et des merveilles d'architecture.
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